LES BONNES QUESTIONS VS LES BONNES RÉPONSES ? ET MOI DANS TOUT ÇA !
- Comment choisir un circuit court alimentaire ?
- Nos achats alimentaires vont-ils nous rendre fous ?
- L’ADN de la Ruche qui dit Oui! Est Toulouse.
- Qu’est-ce qu’un drive fermier ?
- Où acheter des fruits et légumes ?
- Pourquoi faire de la vente directe ?
- Facile avec la livraison de légumes et de fruits ?
- Comment acheter des légumes en vente directe ?
Circuit court social, solidaire et coopératif, la Ruche qui dit Oui!
Les circuits courts ont le vent en poupe.
Tant mieux. Les distances se raccourcissent entre producteurs et consommateurs. Mais prenons garde ! Il ne faudrait surtout pas que cette révolution n’accouche que d’un énième gadget marketing. L’enjeu, c’est bien de reconstituer une chaîne de valeur où les intermédiaires sont véritablement utiles et ne prélèvent pas une part excessive de la valeur produite collectivement. Il faut repartir d’une feuille blanche. Les circuits courts ne sont pas une solution magique. Ils sont une première étape pour redémarrer un système alimentaire devenu fou.
Commençons par les bonnes nouvelles.
Lentement mais sûrement, les pratiques alimentaires des Français évoluent dans le bon sens : aujourd’hui, 6 % à 7 % des achats alimentaires se font en circuit court, et 7 Français sur 10 consomment régulièrement des produits bio. Du côté des exploitations, selon le dernier recensement agricole de 2010, elles sont 21 % à écouler une partie de leur production en circuit court et il est probable qu’elles soient largement plus nombreuses aujourd’hui.
Des chiffres encourageants !
Mais ils ne doivent pas pour autant occulter une réalité plus contrastée : les grandes surfaces généralistes concentrent encore 65,5 % des ventes de produits alimentaires (en valeur). Et pour une majorité de nos concitoyens, c’est encore et toujours le prix qui s’impose comme critère numéro un en matière d’alimentation. Les circuits courts, sous toutes leurs formes, ont encore du chemin à parcourir pour faire accepter la notion du juste prix, celui qui rémunère convenablement les producteurs.
La transparence comme réponse...
Pour y parvenir, seule la transparence peut faire changer les esprits. Dans un modèle de consommation durable, la part allouée à chacun des protagonistes du système alimentaire devrait être connue et la valeur justement répartie. Si le consommateur connaissait les sur-marges pratiquées par les supermarchés sur les fruits et légumes biologiques (si un panier de fruits et légumes bio est plus cher de 79 % que son équivalent conventionnel, la moitié de ce surcoût est due aux marges prélevées par les distributeurs !), s’il savait que sur 100 euros de produits vendus, seuls 6,20 € reviennent aux producteurs, il se tournerait probablement vers des propositions plus équitables comme celle de la Ruche qui dit Oui !
Changeons de perspective !
Dans les années 60, 35 % du budget d’un foyer étaient consacrés à l’alimentation. Aujourd’hui, le ratio est tombé à 20 %. Selon les économistes, il est de bon ton de s’en féliciter, cela signifie que le niveau de vie général augmente. Mais si ce « progrès » s’accomplit au prix d’une alimentation dégradée, d’un régime fait de produits transformés et/ou sucrés, d’une explosion des maladies liées à la malbouffe, il est peut-être temps de changer de perspective.
Créons un espace de dialogue avec les producteurs...
C’est pourquoi il faut en finir avec le cloisonnement des mondes, entre ceux qui produisent et ceux qui mangent. Nous devons recréer un espace de dialogue entre producteurs et consommateurs, entre villes et campagnes, et ne plus tolérer qu’on nous cache ce qu’il y a véritablement dans nos assiettes. Reprendre la main sur son alimentation, c’est aussi réapprendre la saisonnalité de produits, reprendre le temps de cuisiner – le temps consacré à la préparation du repas a diminué de 25 % entre 1986 et 2010, alors que la consommation de plats tout préparés ne cessait de croître – et redécouvrir les recettes qui correspondent à chaque moment de l’année. Et pour ça, rien de tel que d’en discuter de vive voix avec un producteur lors d’une distribution de la Ruche qui dit Oui! ou de s’informer sur le magazine de notre réseau.
Au plaisir de vous rencontrer lors d'une des 3 distributions animées par l'association des Jardins de Baugnac. Ou profitez des produits proposés par notre équipe de producteurs sur l'un des 6 points de retrait : Quint-Fonsegrives, Mons, Drémil-Lafage, Lavalette, Baugnac, Montrabé et bientôt Balma. A bientôt !
Quelques avis !
Jeanne B. - 31/01/2019.
"Site ergonomique et facile d'utilisation, suivi au top..."
Isabelle R. - 22/11/2018.
"Un bon choix de légumes de saison."
Yolande V. - 26/10/2017.
"Convivialité et accueil chaleureux."
Daniel G. - 18/01/2018.
"Les produits frais et le côté pratique."
Céline J. - 29/09/2018.
"Bon produits, le circuit court et les produits Bio..."
Marylène C. - 8/11.2018.
"Produits de très bonne qualité et accueil très chaleureux."
Françoise T. - 8/03/2018.
"La gentillesse de Franck, la fraîcheur des produits. Sympathique de récupérer son panier , joie de la découverte des produits..."
Cloé L. - 22/06/2017.
"Très bons produits, rapidité, disponibilité des vendeurs."
Agnès D. - 5/02/2019.
"Accueil sympa, pratique pour se garer, sympa pour le sac et produits vraiment délicieux."
Mireille S. - 29/01/2019.
"Le fait d’éviter Beaucoup d'intermédiaires."
Jean-Pierre C. - 8/03/2018.
"Ce qui m'a plu : rémunérer directement les producteurs."
Valérie D. - 15/02/2018.
"J'ai tout aimé, la fraîcheur et la qualité des produits, le producteurs présents..."
Samantha V. - 16/03/2017.
"Qualité des produits et service !"
Valérie B. - 4/12/2018.
"La simplicité du système de commande et les colis prêts à mon arrivée."
Nadine B. - 13/11/2018.
"Produits d'excellente qualité, amabilité des personnes qui distribuent. Les horaires sont adaptés..."